Archéologie juive

Une histoire des Juifs de France de l’antiquité à nos jours: « Archéologie du judaïsme en France »

Dans cette synthèse, la longue présence juive sur le territoire de la France actuelle se dévoile de découverte en découverte…


Synagogues, bains rituels, rues, cimetières, graffitis, parchemins…, depuis le XIXe siècle, les archéologues exhument des traces matérielles du judaïsme en France, mais c’est le développement de l’archéologie préventive qui, dans les années 1990, a permis de mettre au jour une série de nouveaux sites.

Ces vestiges éclairent la présence juive durant l’Antiquité, complètent les rares informations sur le premier Moyen Âge, enrichissent la connaissance des innombrables juiveries médiévales que comptait le royaume avant les expulsions des XIIe, XIVe et XVIe siècles, illustrent les communautés » résilientes » (Alsace, Avignon, Comtat Venaissin) ou se reconstituant au XVIe siècle (côte aquitaine, Lorraine), et apportent des données originales sur les juifs de France, de l’Émancipation en 1791 à l’époque actuelle.

Retraçant les prémices et le développement de l’archéologie juive en France, cet ouvrage dresse un état des connaissances en s’appuyant également sur les archives textuelles, l’épigraphie, la topographie urbaine, la toponymie, le patrimoine bâti et l’art, pour restituer sa place dans l’histoire de France à une communauté très ancienne. Ainsi la présence juive se dévoile-t-elle, de découverte en découverte, contribuant à donner une visibilité à ce » point aveugle » du récit national.

L’archéologie du judaïsme en France et en Europe

Juiveries, synagogues, bains rituels, écoles talmudiques, latrines, cimetières… L’essor de l’archéologie préventive depuis les années 1990 a permis la mise au jour d’un grand nombre de vestiges, le plus souvent ignorés, de la présence juive en Europe.

Spécialistes étrangers et français confrontent ici recherches archéologiques et historiques, et dressent un état des apports de l’archéologie à travers des exemples albanais, allemands, espagnols, français, hongrois, italiens et tchèque.

Ces données nouvelles contribuent à la connaissance du judaïsme européen depuis l’Antiquité et permettent une meilleure appréhension de son inscription très ancienne dans la société médiévale, jusqu’aux expulsions des XIIIe, XIVe et XVe siècles.


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