L’histoire irlandaise corrigée – Les descendants de Juda en Irlande

Notez que le roi mythique des Tuatha De Danaan était quelqu’un appelé diversement Dagda, Deaghda ou Daghda (tous prononcés Dah-da), un roi qui était également connu sous le nom de « In Ruad Rofhessa », un nom qui « le montre comme le dieu de la sagesse » ainsi que d’autres noms, « qui le révèlent comme le dieu solaire ». (Early Irish History & Mythology pp.469 & 320, Thomas F. O’Rahilly.)

Nous connaissons ce « roi » mythique sous le nom de Darda fils de Zerach, le mot Zerach signifiant « brillant » ou « rayonnant » – d’où l’association avec le « soleil ». Dans le livre des Chroniques, il s’appelle Dara. Josèphe l’appelait Dardanus.

Citant les paroles de John Lynch :

« Il semble aussi que le ‘Dergtinnii’ ou ‘Dergthene’ était un autre nom d’emprunt pour les Ithiens. (Ogygia, p.268). Ce n’est pas sans rappeler ‘Darnii’, la tribu que Ptolémée place dans cette partie de l’Ulster, qui, selon la tradition, fut occupée au IIe siècle par les Deagaigh Dalfiatach.

« Enfin, dans les généalogies Eireamoniennes (infra, p.[248]), je ne trouve aucun nom pour expliquer comment la même tribu pourrait être appelée ‘Deagaidh ‘ et ‘Dergtinne;’ mais dans la généalogie Ithienne (Ogygia, p.149) nous avons un « Dergene », et un « Deagaidh Dearg », qui expliquent l’appellation commune, si nous admettons que les Deagaidh étaient Ithiens. Les Derga sont expressément classés parmi les Ithiens par Irish Nennius, p.262. » (Cambrensis Eversus Vol. 1, p.509.)

Dergtinne sous ses diverses formes se prononçait Dertan et équivaut au Dardan/Dardanus de Josèphe. Ces fils de Deaghda étaient également connus sous le nom de « fils de Daire ». Si vous faites une recherche sur Google vous constaterez que ce nom Daire se prononce DARA !!! Les Ithiens, cependant, descendent d’Ethan, fils de Zerach.

Les Tuatha De Danaan faisaient partie de la première invasion milésienne qui s’est produite vers 420 avant notre ère avec Geoffrey Keating nous informant que les Némédiens (c. tous descendent de Sru fils d’Easru. (Histoire générale de l’Irlande, p.75.)

La deuxième invasion milésienne s’est produite au milieu du quatrième siècle de notre ère, date à laquelle Ammianus nous dit qu’il y a eu des migrations massives de tribus à travers l’Europe, y compris les Scotti (c’est-à-dire les Scythes) qui étaient  » s’étendant largement et causant de grandes dévastations ». (Ammianus Marcellinus, Rerum Gestarum xxvii.8.5.)

Lorsque vous ignorez le gâchis que les moines irlandais ont fait de l’histoire irlandaise et que vous regardez plutôt les preuves réelles, tout se met parfaitement en place,

L’Irlande signifie littéralement le pays d’Er fils de Juda. Les noms Ir, Er et Eire sont tous des variations phonétiques du même nom. Que ces trois noms soient complètement interchangeables est confirmé par Seamus MacManus (Story of the Irish Race p.19.) Les dirigeants des Tuatha De Danaan étaient des tribus de Darda et Ethan des fils de Zerach fils de Juda.

Pour comprendre l’Irlande moderne, il faut comprendre l’histoire de l’Irlande. Ses légendes, sa vie religieuse et politique, sa culture et ses contributions plus larges au monde restent liées à son riche passé.

Dans L’histoire de la race irlandaise, écrivain et conteur populaire, Seumas MacManus offre un regard large sur le développement de l’Irlande et de ses habitants. En commençant par la première colonisation par les Milesius d’Espagne, MacManus explore des histoires anciennes sur les Tuatha De Danann, Cuchullain, Fionn et les Fian, les invasions irlandaises de la Grande-Bretagne, Sainte Brigitte et Saint Patrick, les missionnaires et universitaires irlandais à l’étranger, et la vie et culture dans l’Irlande ancienne et médiévale.

Il enquête également sur des événements et des noms plus récents de l’histoire irlandaise, tels qu’Oliver Cromwell, « The Wild Geese », Wolfe Tone, Daniel O’Connell, les Fenians, la Famine, Charles Stewart Parnell et la Land League. Depuis ses débuts jusqu’à l’Insurrection de Pâques, MacManus offre un regard divertissant et instructif sur l’une des cultures les plus fascinantes que nous connaissions.

Steve Phillip

Jérémie, a créé un royaume en Irlande

A-t-il voyagé là-bas en 583-560 av. J.-C. depuis l’Égypte à peu près au même moment de la destruction de Jérusalem, avec : le scribe Baruch, Ebed-Melech, Tea Tephi (fille de Sédécias et héritière de la lignée du trône de Pharez), et le fils du roi d’Irlande qui était à Jérusalem au moment du siège?

Jérémie est-il venu en Irlande pour construire la nation d’Israël dans les îles de l’Ouest et pour implanter la lignée royale de David sur le trône d’Israël en la personne de la fille de Sédécias, Tea Tephi ?

Tea Tephi est le nom de la reine la plus célèbre de l’histoire irlandaise. Avec elle, le lion est entré dans l’héraldique irlandaise, emblème des Israélites, mais surtout de la tribu de Juda. Avec Tea Tephi, une pierre de 400 livres des plus remarquables est également arrivée en Irlande, appelée Lia Fail, ou pierre merveilleuse, ou Pierre de Scone sur laquelle la lignée des rois irlandais a été couronnée jusqu’à environ 500 après JC. Par la suite, elle a été transportée en Écosse et utilisée comme pierre de couronnement là-bas jusqu’en 1296 après JC. Puis Edward I l’a portée à l’abbaye de Westminster où elle se trouve depuis, jusqu’à tout récemment. lorsqu’elle a été renvoyée en Écosse, en tant que pierre du couronnement de la Grande-Bretagne.

Tea Tephi a épousé le monarque irlandais, Eiochaid, le Heremonn, rejoignant ainsi les branches Pharez et Zarah de la lignée royale de Juda, et d’eux à travers la lignée des rois irlandais et écossais, on peut retracer la descendance jusqu’à George VI et montrer que la lignée Davids n’a pas car Yahweh garde son alliance de sel. (2 Chroniques 13:5)

Tea-Tephi, sera en effet l’ancêtre de la plupart des Maisons souveraines de l’Europe.

Jeremiah était-il le vieux patriarche aux cheveux blancs, parfois appelé un « saint », qui débarqua en Ulster dans la tradition irlandaise? Jérémie n’était-il pas le grand-père du roi Sédécias (dernier roi de Juda); et donc, l’administrateur de Dieu de la lignée et du trône de David?

Les Annales des Quatre Maîtres disent ceci : « On ordonna que les anciens registres et chroniques du royaume soient écrits et soigneusement conservés à Tara. » Qui leur a ordonné de faire cela? Jérémie l’a certainement fait, lui-même.

De ces sources, nous apprenons que vers 565 av. J.-C., peu après la disparition de Jérémie et des filles du roi dans l’histoire orientale, apparut en Irlande à Tara, le siège des rois d’Irlande, un personnage remarquable et mystérieux, un prophète nommé Ollam Fola, qui institua une école de prophètes en Irlande.

D’après le nombre de mots hébreux liés à ce personnage mystérieux, il est démontré qu’il était un prophète hébreu. Le seul prophète hébreu qui a disparu avec une telle mission qui le conduirait aux îles de l’Ouest, était Jérémie, dont le buste se trouve au château de Dublin. Le nom de Jérémie reste partout dans ces régions, même aujourd’hui.

Le Ola Fola, de l’histoire irlandaise, était, en Irlande, le fondateur des Ollums. C’était un ordre de prêtres et de sages. Et il a également établi un collège là-bas. C’était une faculté de science sociale. Et il a organisé des conventions à Tara, et tout, en quelque sorte tournait autour de cette région.

« À Tara se trouvait également le bâtiment appelé Maison Ollum ou Maison des savants, dans lequel résidaient les bardes, les avocats, et d’autres hommes savants. » – Annales des quatre maîtres, page 293.

A lire sur ce site, la traduction complète du livre : Quand l’Écosse était juive

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